Le spectateur, comme le lapin, s’attrape par les oreilles.
C’est la musique, le rythme des mots, le mouvement des corps, qui m’ont toujours fait glisser dans le terrier fascinant des images.
Avec une caméra, avec un crayon, tout est bon du moment qu’il y a le tempo. Le tempo, le mouvement, et les gens.